Gerard Jorland

Alexandre Koyré’s Galileo Studies have been epoch-making in the history of science. Every Galilean scholar, since their publication just before the Second World War, has introduced his or her own work by taking a position in relation to that of Koyré. Even the return to the pre-Koyrean scholars, from Favaro to Wohlwill, has taken Alexandre Koyré as its starting point. This chapter aims to show how Alexandre Koyré’s main theses concerning Galileo’s experiment and Platonism were challenged through the experimental and then the sociological turns in the historiography of science of the last three decades of the previous century. Nonetheless, his theses could still be maintained, albeit with due qualifications.

Cette étude tend à montrer que l’œuvre de Marx procède d’une intuition ontologique, à savoir que tout est transformation (Verwandlung). Il est alors possible de montrer que les trois tomes du Capital reviennent à une série articulée de transformations. Marx pense ces transformations en termes syllogistiques hégéliens. Cette formulation syllogistique permet de comprendre, premièrement, que la dernière de ces transformations, la transformation des valeurs en prix de production, soit restée incomplète bien que Marx en eût conscience ; deuxièmement, que la publication du Capital soit restée inachevée du vivant de Marx ; troisièmement, que le socialisme ait été un échec économique.