Ernest Sosa

Starting with its tenth volume, Philosophical Issues will be a yearly one-volume supplement to Nous. Each year it will be devoted to invited papers and book symposia in a specific area of philosophy. The yearly has attained distinction through the uniformly high quality of its previous nine volumes and the fact that its authors include many of the most distinguished philosophers active today. The topic of Volume 10 is controversies at the interface of epistemology with philosophy of language and philosophy of mind, including discussion of the sorites paradox and linguistic contextualism on attributions of knowledge.

This volume gathers papers by many of the best-known philosophers now at work on issues of realism and relativism across the field of philosophy. The result is representative of the best cutting-edge work in the area. Includes work both on the ontology and epistemology of the normative as well as on more general metaphysical and epistemological issues of relativism and realism Essays include discussions of relativism and the first-person perspective, underdetermination and realism, and mathematical realism and epistemic relativism, plus many other points of reflection.

C’est un plaisir de poursuivre une conversation de longue date avec la personne qu’on honore, au sujet de questions relatives à la nature de la croyance et de la manière dont elles affectent la théorie de la connaissance : la croyance peut-elle être de l’ordre de la performance? Peut-elle être vraiment motivée, beaucoup moins motivée de manière appropriée, par des raisons qui sont pragmatiques plutôt qu’épistémiques? Ce sont des questions sur lesquelles nous sommes en désaccord et que Engel inscrit dans un conflit plus général sur la sorte de normativité qui convient à l’épistémologie. Il m’attribue une sorte de normativité téléologique-axiologique, tandis qu’il opte plutôt pour une normativité qui est déontique. Selon lui, il existe des normes de croyance, au minimum une norme de vérité, et aussi une norme de connaissance. Vous devez ne pas croire ce qui n’est pas vrai, et même ce dont vous ne savez pas s’il est vrai, voir [Engel 2013], [Sosa 2013].

C’est un plaisir de poursuivre une conversation de longue date avec la personne qu’on honore, au sujet de questions relatives à la nature de la croyance et de la manière dont elles affectent la théorie de la connaissance : la croyance peut-elle être de l’ordre de la performance? Peut-elle être vraiment motivée, beaucoup moins motivée de manière appropriée, par des raisons qui sont pragmatiques plutôt qu’épistémiques? Ce sont des questions sur lesquelles nous sommes en désaccord et que Engel inscrit dans un conflit plus général sur la sorte de normativité qui convient à l’épistémologie. Il m’attribue une sorte de normativité téléologique-axiologique, tandis qu’il opte plutôt pour une normativité qui est déontique. Selon lui, il existe des normes de croyance, au minimum une norme de vérité, et aussi une norme de connaissance. Vous devez ne pas croire ce qui n’est pas vrai, et même ce dont vous ne savez pas s’il est vrai, voir [Engel 2013], [Sosa 2013].

This is the first book to bring together Western and Chinese perspectives on both moral and intellectual virtues. Editors Chienkuo Mi, Michael Slote, and Ernest Sosa have assembled some of the world’s leading epistemologists and ethicists—located in the U.S., Europe, and Asia—to explore in a global context what they are calling, "the virtue turn." The 15 chapters have never been published previously and by covering topics that bridge epistemology and moral philosophy suggest a widespread philosophical turn away from Kantian and Utilitarian issues and towards character- and agent-based concerns. A goal of this volume is to show students and researchers alike that the turn toward virtue underway in the Western tradition is being followed by a similar turn toward virtue in Chinese philosophy.