Scott Shalkowski

In ‘Two Notions of Being: Entity and Essence’ E. J. Lowe defends “serious essentialism”. Serious essentialism is the position that (a) everything has an essence, (b) essences are not themselves things, and (c) essences are the ground for metaphysical necessity and possi- bility. Lowe’s defence of serious essentialism is both metaphysical and epistemological. In what follows I use Lowe’s discussion as a point of departure for, first, adding some considerations for the plausi- bility of essentialismand, second, somework onmodal epistemology

Dans cet article je présente le dilemme de Simon Blackburn pour les théories vériconditionnelles de la modalité, et je discute de ses limitations. Je discute la nature de circularité conceptuelle et argumentative, j’argumente que la circularité conceptuelle ne s’applique pas à toutes les théories vériconditionnelles de la modalité et que, de plus, la circularité argumentative ne s’applique pas. Il n’y a rien d’erroné, en principe, avec les théories de la modalité en termes non modaux, mais les questions épistémologiques présentes sont significatives et ont été trop peu traitées. Je conclus que le dilemme de Blackburn est insuffisant pour défricher le terrain pour sa propre conception quasi-réaliste de la modalité.

Dans cet article je présente le dilemme de Simon Blackburn pour les théories vériconditionnelles de la modalité, et je discute de ses limitations. Je discute la nature de circularité conceptuelle et argumentative, j’argumente que la circularité conceptuelle ne s’applique pas à toutes les théories vériconditionnelles de la modalité et que, de plus, la circularité argumentative ne s’applique pas. Il n’y a rien d’erroné, en principe, avec les théories de la modalité en termes non modaux, mais les questions épistémologiques présentes sont significatives et ont été trop peu traitées. Je conclus que le dilemme de Blackburn est insuffisant pour défricher le terrain pour sa propre conception quasi-réaliste de la modalité.

Chris Daly défend « l'explicationisme », la position selon laquelle l'inférence a la meilleure explication constitue une façon acceptable de justifier une théorie. Il la défend en tentant de justifier la position explicationiste par ses propres ressources, c'est-a-dire par elle-même. Je soutiens que dans le contexte de la métaphysique, cette défense échoue. L'explicationiste échoue à se justifier par ses propres ressources et l'une de ses premisses centrales ne peut pas être justifiée uniquement de façon externaliste.

Wesley Salmon and Michael Martin argue that scientific considerations about the order in the universe justify atheism. After sketching Salmon’s argument, I examine the nature of begging the question and argue that Martin takes a sufficient condition of that fallacy to be a necessary condition. After a pragmatic account to the fallacy is recommended, I point out how Salmon’s and Martin’s beg the question against all save those who already adhere to atheism and that the crucial considerations that they take to be distinctly scientific are really extra-scientific considerations, giving a specious impression that they are uncontroversial to all who accept mainstream science.

In ‘Two Notions of Being: Entity and Essence’ E. J. Lowe defends “serious essentialism”. Serious essentialism is the position that everything has an essence, essences are not themselves things, and essences are the ground for metaphysical necessity and possibility. Lowe's defence of serious essentialism is both metaphysical and epistemological. In what follows I use Lowe's discussion as a point of departure for, first, adding some considerations for the plausibility of essentialism and, second, some work on modal epistemology.