T. Fox

A virtual particle is an elementary particle in a quantum field theory that serves to symbolise the interaction of its counterparts, the so called real particles. In the last 20 years, philosophers of physics have put forth several arguments for and against an interpretation of virtual particles as being like ordinary objects in space and time. In this article, I will attempt to systematise the major arguments and argue that no pro-argument is ultimately satisfactory, and that only one contra-argument—that of superposition—is sufficient to deny the realistic interpretation of virtual particles. The secondary aim of this paper is to argue that even the philosophical considerations of virtual particles overestimate their role in that these entities are merely pictorial descriptions of a mathematical approximation method. This description, while helpful, is not necessary to understand particle interactions. In the end, quantum field theory is not the place to explain what actually happens in the very centre of an individual particle interaction.

Cet article pose la question de savoir si les quarks — constituants élémentaires de la matière et dernières particules de la physique des hautes énergies à avoir été confirmées — peuvent être observés de manière directe ou indirecte. D’abord, des définitions antérieures de « l’observation » en physique seront examinées — en l’occurrence, celles proposées par Grover Maxwell, Bas van Fraassen et Dudley Shapere. Puis, leurs résultats seront comparés à une définition du concept d’observation et à une différenciation entre l’observation directe et indirecte. Une possibilité de mettre en évidence les quarks de manière expérimentale est le phénomène des jet-events, qui représentent un type spécifique de désagrégation dans les détecteurs de particules. Ces jet-events contribuent à l’étude de cas ici centrale, puisqu’ils sont la preuve la plus convaincante à ce jour des quarks. L’examen de jet-events et leurs évaluations par des physiciens mènent à la conclusion que les quarks ne peuvent être observés, ni directement ni indirectement. Cette thèse sera comparée aux points de vue de Kristin Shrader-Frechette et Michela Massimi sur l’observabilité des quarks. On en tire la conclusion que les quarks ne sont pas observables, si l’on entend employer le terme « observation » dans un sens non métaphorique et en conservant une relation avec ses usages dans la vie quotidienne.

Cet article pose la question de savoir si les quarks — constituants élémentaires de la matière et dernières particules de la physique des hautes énergies à avoir été confirmées — peuvent être observés de manière directe ou indirecte. D’abord, des définitions antérieures de « l’observation » en physique seront examinées — en l’occurrence, celles proposées par Grover Maxwell, Bas van Fraassen et Dudley Shapere. Puis, leurs résultats seront comparés à une définition du concept d’observation et à une différenciation entre l’observation directe et indirecte. Une possibilité de mettre en évidence les quarks de manière expérimentale est le phénomène des jet-events, qui représentent un type spécifique de désagrégation dans les détecteurs de particules. Ces jet-events contribuent à l’étude de cas ici centrale, puisqu’ils sont la preuve la plus convaincante à ce jour des quarks. L’examen de jet-events et leurs évaluations par des physiciens mènent à la conclusion que les quarks ne peuvent être observés, ni directement ni indirectement. Cette thèse sera comparée aux points de vue de Kristin Shrader-Frechette et Michela Massimi sur l’observabilité des quarks. On en tire la conclusion que les quarks ne sont pas observables, si l’on entend employer le terme « observation » dans un sens non métaphorique et en conservant une relation avec ses usages dans la vie quotidienne.

The discourse marker use of the word like is considered by many to be superfluously sprinkled into talk, a bad habit best avoided. But a comparison of the use of like in successive tellings of stories demonstrates that like can be anticipated in advance and planned into stories. In this way, like is similar to other words and phrases tellers recycle during story telling. The anticipation of like contrasted with the uses of other discourse markers such as oh, you know, and well, which almost never re-occurred in similar locations across tellings. Um and uh did sometimes re-occur; these uses are contrasted with like. Although discourse markers are generally used on the fly to handle various issues that come up in coordinating talk as it unfolds, like can be used as an integral part of the story -a marked contrast to the prevalent idea that likes are speech tics.

We explored the differential impact of auditory information and written contextual information on the recognition of verbal irony in spontaneous speech. Based on relevance theory, we predicted that speakers would provide acoustic disambiguation cues when speaking in situations that lack other sources of information, such as a visual channel. We further predicted that listeners would use this information, in addition to context, when interpreting the utterances. People were presented with spontaneously produced ironic and nonironic utterances from radio talk shows in written or auditory form, with or without written contextual information. When the utterances were read without written contextual information, all utterances were rated as equally ironic. But when they were heard as opposed to read, or when they were presented in irony-biasing contexts, originally ironic utterances were rated as more sarcastic than originally nonironic utterances. This evidence suggests both acoustic and contextual information are used when inferring ironic intent in spontaneous speech, and validates previous manipulations of intonation in studies of irony understanding.